« COMMENT JE SUIS DEVENUE DUCHESS GOLDBLATT » : Mon avis
Original… si je devais décrire le livre, là de suite … ça serait ce mot ORIGINAL.
J’ai découvert ce roman grâce aux éditions de la Table Ronde qui me l’ont envoyé à ma demande car j'étais passé à côté lors du choix dans le catalogue. Je ne regrette pas car j’en ai vraiment apprécié sa lecture.
La plume est géniale et très appréciable. La lecture est assez fluide et se lit sans soucis. j’ai adoré les personnages et principalement la DUCHESS ainsi que cette maman qui se bat pour garder la tête hors de l’eau et ce n’est pas facile tous les jours.
Je me suis facilement imaginée ses émotions, ses peurs, ses doutes… ses tristesses et j’avais envie d’entrer dans le livre et la rassurer. Un passage m’a principalement touché, voici deux extraits :
« C’est à Noël que nous prenons conscience de ce qui nous manque, de ce qui ne sont plus avec nous. »
« Si je fais mon travail de maman, ton cœur deviendra si grand que tu trouveras toujours une minuscule place pour chaque personne sur terre, disais-je. Tu n’es pas obligé d’aimer tout le monde. Mais s tu sens ton cœur se durcir contre quelqu’un, j’espère que tu essaieras de trouver trois choses positives à dire à son sujet. »
Vous pouvez le trouver dans vos librairies depuis le 14 avril dernier, n’hésitez pas à me donner votre avis.
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Résumé de l’éditeur
Dans une maison d'édition sur le point d'être rachetée, la narratrice de ce livre était au fond du trou le jour où elle a inventé Duchess Goldblatt. Récemment divorcée, elle devait apprendre à ne plus voir son fils qu'une semaine sur deux ; trouver une maison où vivre ; se rendre régulièrement chez son avocate et chez sa psychologue ; devait, aussi, se rendre à l'évidence : elle était seule. Amis et connaissances l'avaient délaissée, préférant se ranger dans le camp de son ex-mari, ou simplement s'épargner le cynisme de cette grande gueule, aussi dévastateur pour les autres que pour elle. C'était à se demander si elle n'avait pas fait exprès de s'entourer de gens dont elle aurait dû se douter, dès le début, qu'ils finiraient par la lâcher.Toujours est-il qu'à ce moment de sa vie, la liberté de l'anonymat, l'univers encore inexploré des réseaux sociaux et l'envie d'échapper à une vie qui se délitait la pousse à se créer un avatar, celui d'une vieille dame de 81 ans, originaire de Klein, au Texas, et résidant à Crooked Path, dans l'État de New York, auteure de best-sellers parmi lesquels Quelques comptes à régler (des Mémoires familiales), Pas si je te tue en premier (une contemplation des relations mère-fille), ou encore Festoyer de la carcasse de mes ennemis : Une histoire d'amour. Avatar qui prendra bientôt le pas sur sa créatrice, semblant s'exprimer d'elle-même sur la Toile à travers de délicieux tweets pareils à des haïkus, et répondant avec une bonté nouvelle, une sagesse méconnue, aux messages de ses abonnés toujours plus nombreux.Le cercle d'admirateurs - 55000, quand même ! parmi lesquels le chanteur Lyle Lovett et nombre d'écrivains - qui s'est formé autour de Duchess depuis 10 ans, est en quelque sorte devenu celui de la narratrice, lui redonnant goût à la vie.Leurs deux histoires se mêlent dans ce livre à l'humour décapant, qui célèbre à la fois le pouvoir des mots et la joie d'écrire.
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Je vous remercie d’avoir lu la chronique, n’hésitez pas à me donner votre avis et me dire si vous souhaitez lire ce roman pas comme pas les autres.
A très vite sur le blog,
Alex de @mom_reads_blog
« Comment je suis devenue DUCHESS Golbdlatt, de Anonymes traduction de Laura Derajinski, sorti le 14 avril 2O22 aux éditions de la Table Ronde, 272 pages, 22 euros
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